HISTOIRE D’UNE JEUNE FILLE

En Afrique il n’est pas si facile de croire que l’on a la possibilité de faire tout ce qu’on veux de soit même.
Voilà une jeune fille qui vient à peine  d’avoir 18 ans et comme on le dit souvent « la démocratie envahi le cœur des jeunes africain(e)s ».Elle décide de ne plus suivre les consignes qu’avaient donnés ses parents que dans leurs maison il n’en est pas question à aucune fille de porter des chemises extravagantes, ni de sortir avec un homme à moins que ce ne soit pas leur désignation. Mais cette fille niant cette civilisation s’en vas en dehors faire autres choses qu’elle pensait être la meilleur « sortir avec un  jeune garçon de son âge mais citadin» pan ! Des mois coulent elle remarque qu’elle enceinte du garçon alors que celui-ci était de passage et déjà parti en ville; la maison devient chaude, une catastrophe s’abat sur la maison «maladies, abomination… ».la famille se rendait compte ainsi que quelques de sérieuses se produisent dans la maison et c’est la jeune fille qui est enceinte !!!
La famille décident de la chasser (mauvaise décision) pour que la maison se débarrasse de ces abomination. Ainsi renvoyer la jeune fille trouve refuge dans une ville voisine et que malheureuse elle perdra l’enfant. Quelqu’un la trouve et décida de l’aider …
Elle poursuivait alors ses études en ville et devient sans plus tarder un docteur…
Le village connait en ces moments là un désastre de maladies et le gouvernement faisais alors appel à elle entant que docteur et elle ne pouvait pas refuser alla.
Elle portait un signe au niveau du bras et elle fuit reconnu par sa  famille… ?  Couverte de honte pas de réaction surprises si ce n’est que des cris de joie. La population décide alors de fêter se retour miraculeuse et décide alors de renoncer à certains règles des anciennes traditions.                                                                                                IL NE FAUT PAS SE CONTENTER SEULEMENT DES ANCIENNES      TRADITIONS MAIS IL FAUT LES AJUSTES…                                                                                                                                                                                                        KATI kodjo tontonvi.